Albert, Albert, Albert…

Bon, ce soir je lisais des écrits d’Albert Einstein et ça m’empêche de dormir. Il explique pourquoi le capitalisme ne peut s’auto-suffire et que la solution idéal ou plutôt (utopique) serait le socialisme. J’suis probablement un trou de cul vis-à-vis lui, mais reste que je ne suis pas d’accord avec lui. D’après-moi la meilleure solution en est une parmi la multitude qui existe entre les deux, et encore, c’est peut-être plusieurs.

Je crois que comme chaque personne, la politique et les idées doivent s’ajuster au conséquence. L’idée par exemple que tous les bien appartiennent à l’étât et qu’elle distribue le travail basé sur les besoin, est pleine de problèmes. Premièrement il y a la corruption bien sûr, mais même si tout le monde était honnête, ça ne fonctionnerait pas correctement, car les besoins de chacun sont différent et aussi parce que pour faire travailler tout le monde faut aussi créer de nouveau ou faux besoin.

N’est pas qui veut scientifique genre. On ne peut pas non plus, placer quelqu’un dans un travail qui ne lui convient pas. Du coup, ce n’est pas tout le monde qui veulent être celui qui ramasse les poubelles. Donc, il faut motiver ses emplois qui peuvent paraître moins utile par quelque chose. Le problème du capitalisme lui, c’est que le produit appartient à une personne qui elle ne paie pas ses travaillants en fonction de la valeur de ce qu’ils ont produit mais bien sur la valeur établi pour ce genre de travail dans un marché donné.

Donc on se retrouve avec « deux » système, qui ne sont pas relié et donc un n’a pas intérêt d’aider l’autre mais plutôt de l’utiliser et de lui donner le moins possible pour pouvoir faire le plus d’argent possible. Encore là, ça dépend de plein de facteur, là, si t’as un pool de travailleurs très petit, tu ne peux pas non plus les faire chier, car par la suite tu pourras simplement plus produire.

Et pour rendre le tout encore plus chiant, entre les entrepreneur il y a aussi une compétition, donc ça fait qu’eux en veulent toujours plus pour différentes raisons. Afin de controller ça, il faudrait faire en sorte que payer les employés proprement ne nuise pas au profit ou à la compétition entre entrepreneurs d’un même marché. Là est toute le beauté de cette compléxité d’après-moi, comment faire en sorte que donner plus au employé ne nuit pas à ton commerce.

Ma solution d’enfant utopique, est de faire en sorte que les employés possèdent automatiquement des parts en relation avec le nombre d’heures, mais ça sous-entends que chacun travaille égale pour chaque heure. C’est beau rêver, quoi qu’en fait c’est ce que font les syndicats. Ce qui pourrait être bien c’est que la moitié des profits soit retourné aux employés en division égale.

Donc une compagnie qui aurait 10 employé au salaire de 9$, qui vendrait pour 80000$ et génèrerait des profits de 20000$ aurait à retourner 10000$ au dix employés. Ce qui reviendrait à 3.4$ de plus de l’heure. Les employés auraient un lien avec les profits et donc ça pourrait les motivés. L’entrepreneur garde une très bonne part des profits. D’une certaine façon les profits d’un produit ou d’un service ne sont pas relier nécessairement au travail requis, mais bien à ce que le marché est prêt à payer pour l’acquérir.

Autrement dit, les compagnies qui font beaucoup d’argent, ce n’est pas réellement parce qu’elles font de bons produits ou offrent de bons services, mais bien qu’elles offrents les produits/services dont le marché est prêt à acheter et payer le plus. Et le marché c’est nous, les entrepreneur ce qu’ils ont là-dedans, c’est le mérite d’avoir vu cette demande et d’avoir monter une entreprise capable de le combler.

Ce qui me fait encore dire que ma solution est merdique. Elle encourage une distribution de la richesse peut être un peu plus juste, mais embarque les employés dans un tourniquet que justement on désire arrêter pour les entrepreneurs. La surconsommation, et des produits de moins bonnes qualités. Imaginez si les employés prêchais toujours pour leur paroisse en vu d’obtenir se bonus relié au profit. Ça serait encore là, la compagnie qui fait le mieux connaître son produit et qui réussi à le vendre, pas nécessairement un bon produit. Ça pourrait même créer une surconsommation encore plus grande qu’aujourd’hui.

J’espère au moins qu’en écrivant tout ça, je pourrai trouver le sommeil lol, prochaine fois je vais lire un livre du genre Martin s’en va à la plage…