Les vacances 2012 – on s’envoit en l’air

BEEP BEEP BEEP, on se réveille, on s’arrange tous, on nettoie la chambre et on est au checkout.  On prends le transport de l’hôtel offert gratuitement qui nous amène à l’aéroport JFK.  Que j’apprécie quand s’est offert ainsi gratuitement et que tout va bien, merci aux hôtels d’offrir ce service.  Arrivez à l’aéroport on chercher le guichet pour pouvoir enregistrer nos deux gros bagages.  Ici, ça se fait au milieu de la place avec un petit guichet.

Le monsieur a l’air vraiment bête, ha non, il l’est aussi, ce n’est pas juste un air.  On doit par la suite mettre nos deux bagages enregistrées sur un tapis roulant nous même.  Deux employés discutent et Marjo leur demande si on peut aussi y mettre Émilie, un des gars lui réponds du plus sérieusement du monde que non, seulement les bagages.  Marjo est un peu insulté que le gars ait pu croire que ce n’était pas une farce.  À croire que d’autres aurait fait ça avec leur enfant, ha, il faut de tout pour faire un monde.

On va à notre ligne d’attente pour entrer dans la zone sécurisée.  Encore là, super, il y a une ligne spéciale pour les familles.  On passe et les enfants apprennent qu’ils devront retirer leur soulier, ils trouvent ça bien étrange, nous aussi.  On passe l’inspection, tout est beau, personne n’avait rien cacher dans leur soulier.  On se dirige vers notre gate et on fait un arrêt déjeuner dans le premier resto qu’on voit.

On fait une pause photo juste avant d’entrée dans le resto, en demandant à un pilote qui passe de nous prendre en photo.  Le resto est très bon, surprenant même, ça avait plus l’air d’un bar.  J’ai mangé une genre de sandwidch club déjeuner, pain, omelette, jambon, fromage, délicieux.  Jérémie et Marjo ont prit des oeufs bénédictine, encore là, un succès.  Quand à la petite elle a prise un déjeuner un peu plus standard.

Après une pause toilette, on arrive à notre gate, les enfants regardent les avions sur le côté, la passerelle qui va nous amener à la nôtre.  Notre avion n’est pas encore arrivé, Marjo part explorer les boutiques.  Lorsque l’avion arrive on est tous rivé à regarder le pilote faire son stationnement en parallèle avec ce gros engin.  Le tout est fait et les gens sortent, ce sera notre tour après.  On arrive dans l’avion et les enfants commence à stressé un tout petit peu.

On s’assoit à nos places qui ne sont pas tout à fait une à côté de l’autre, bizarre.  Les rangées sur le côtés sont décalés un peu ce qui fait que les enfants sont en diagonales avec nous.  Jérémie ne veut pas ouvrir l’hublot car il ne veut pas voir ce qui se passe.  Émilie elle cherche à voir, la chicane pogne.  Marjo force Jérémie à ouvrir le hublot ou de changer de place et de simplement pas regarder s’il ne veut pas.

L’avion se déplace, on s’en va vers la piste de décollage, on peut clairement voir un doute dans la face de Jérémie, pour Émilie c’est l’excitation.  BRRROOOOOOOMM, les moteurs à pleine puissance, l’avion avance, ça brasse un peu, on est poussé dans nos sièges, ça y est, on décolle, l’avion monte s’incline vers le ciel, détache de la piste et semble manqué sa shot et redescendre vers la piste, moi je perçois toujours ça comme ça le moment ou l’avion commence à monté, et par la suite ça y est on est dans les airs.

Lorsque l’avion est en monté le pilote pour faire stressé tout ceux qui ont peur en avion fait un virage prononcé.  Si quelqu’un avait le goût de vomir c’est le temps.  Jérémie regarde lui dans le sens opposé de tous alors qu’on regarde comment les bâtiments sont petits.  Sur les écran on nous affiche notre trajet, la distance, notre vitesse et notre altitude actuel, je confirme on est dans les airs et l’altitude continue à augmenter, c’est un bon signe.

Une fois les 10000 pieds atteints notre pilote nous informe que d’autres pilotes l’ont informé qu’il y a de bonne probabilité de turbulence dans les 25 prochaines minutes et décide donc de retarder le service dans les allés.  Merde, moi qui aime prendre un Pepsi/Coke en plein air question de déboucher mes oreilles et de sucer les glaces qu’ils mettent dans nos verres de plastique.  Il nous font jouer un film aussi pour nous faire patienter, mais j’ai pas mes écouteurs et le services qui en vends ne va pas passer avant 30 minutes, oh joie.

Après 10-15 minutes je détecte que Jérémie n’écoute plus sa musique et décide de lui voler ses écouteurs.  Le reste du voyage s’est agréablement bien passé.  Les enfants ont su se faire invisible avec leur PSP/DS et à l’atterrissage se fut un autre moment stressant pour Jérémie.  Une fois sortie de l’avion, la température nous pogne, la chaleur, oh oui!

On débarque et on se dirige vers les carrousels à bagages.  Là, encore une fois Marjo et les kids stress, nos bagages, sont où? tout le monde ont les leurs mais on ne voit pas les nôtres.  Je te les envoi aux toilettes tous afin d’avoir la paix.  Ils reviennent, toujours pas de bagages, mais on est pas les seuls, donc arrêter de paniquer.  Enfin, voilà notre première valise, et la deuxième quelques minutes après.  Tout est beau là?

On sort à l’extérieur, et les taxis sont là pour nous accueillir à porte arrière de camion ouvertes.  On y place nos bagages et on annonce fièrement au chauffeur le nom de notre navire, Carnival Victory s.v.p..  Les enfants regarde leur premier palmiers à l’extérieur.  On se promène dans San Juan afin de se rendre au port. Lorsqu’on arrive tout près je montre aux enfants les bateaux de croisières, mais ils ne les voient pas, effectivement, ils regardent trop bas, je leur dit de lever la tête vers le ciel.

Trois immenses navires se trouvent dans le port aujourd’hui.  C’est gros, des bâtiments de 14-16 étages sur l’eau.  On débarque du taxi et on se dirige vers les portes pour embarqués sur le bateau.  On laisse nos deux gros bagages à un monsieur à l’air louche, auxquels je donne 5$ US, et Émilie me demande pourquoi j’ai donné nos bagages aux monsieur d’un air très inquiète.  La vie est ainsi faite que veux-tu, est ma réponse.

On monte un premier escalier pour se rendre à l’acceuil, on présente nos billets, on reçoit des cartes de chambre, des plans du navire.  On fait une pause toilette, et ensuite on se dirige aux passerelles qui nous amène au bateau.  On pose le pier sur le bateau et on se fait prendre en photo.  Tout mon stress du voyage débarque de mes épaules, on est arrivé au bateau sans problème et tout à bien été, je viens de perdre 20 livres.

On se dirige vers nos chambres, wow, très belles et grandes, les enfants explorent.  On regarde au hublot on y voit les employées qui manipulent nos bagages.  Nos chambres sont les premières à l’avant du bateau au 2è étage donc très basses.  Après quelques minutes de relaxation on décide d’aller manger quelque chose au buffet et du coup de regarder un peu le pont supérieur du bateau.  Deux piscines sont visibles et surtout on voit la glissade d’eau et l’écran gigantesque de cinéma.

Le buffet est décevant, très peu de choix, rien qui a l’air très appétissant.  Moi qui a été l’an d’avant sur le Celebrity Summit, où sushi, indien, et toute sorte de style de bouffe de très bonne qualité se retrouvait dans le buffet, je suis vraiment déçu.  Bon, je décide de me tourner vers un comptoir fast-food, prendre un bon hamburger.  Les enfants eux optent pour des hot-dogs, heureusement leur grand-père leur a dit qu’il devait bien mangé et minimiser le fast-food, ce sera nos derniers hamburgers/hot-dogs de notre périple.

On retourne aux chambres, la valise de Marjo est arrivé, Émilie et elle enfilent leur maillot et on va se baigner, moi et Jérémie on attends toujours notre valise, donc on est limité à regarder les autres se baigner, nos costumes de bain étant dans notre grosse valise.  Une heure passe et voilà on est nous aussi dans la piscine.  Au souper on se dirige vers le restaurant du soir, au menu du saumon crue, un peu style tar-tar.  C’était super bon, sauf que c’est un entrée.  J’en ai donc repris, les enfants aussi d’ailleurs on commander l’assiette.  Je ne me souviens pas ce que j’ai pris en plat principale par contre.

Après le souper on s’est diriger à nos chambres et on est par la suite sortie pour la fête sur le pont du départ de San Juan.  Les gens dansaient et s’amusaient et donc du coup j’ai tout gâché.  À un moment donné moi et Marjo ont s’est pogné, j’ai dit la mauvaise chose au mauvais moment, tout à fait moi ça.  On s’est retrouvé tous dans la chambre et on a terminé notre journée après une petite réconciliation.  Je crois que la fatigue était aux rendez-vous.