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Plus de points que le Canadiens

J’ai reçu mon Nest Protect, c’est un détecteur de fumée et de gaz carbonique avec WiFi. Première surprise, ça parle s’t’affaire là. Je retire la languette qui empêche la batterie de faire contact et ça me dit « Press the button for English ». J’attends un peu, « Appuyez sur le bouton pour Français », très bien prononcer. J’appuie, « Nous allons faire un test, dans 10 seconds vous entendrez l’alarme. Pour annuler, appuyez sur le bouton. 10, 9, … Annulé ». Fiou, la petite était à côté de moi.

Marjo voulait que je remplace les piles de notre détecteur. Mais les piles sont bonnes, il est simplement mal placé. J’ai donc décidé de me procurer le dernier cri dans le monde du détecteur de fumée. Celui-ci va me prévenir avant de me blaster les oreilles. Ces piles durent plus longtemps qu’un an. Je peux lui faire empêcher ou arrêter son alarme en lui envoyant la main tout simplement.

Si ma maison brûle, il va m’envoyer un texto sur mon cell, Sympa! Il a même un anneau de couleur qui sert aussi de veilleuse. Je vais l’installer au plafond dans le couloir, ça sera bien pratique. Je crois même que je vais en acheter un à ma mère, le sien part toujours lorsqu’on va manger chez elle et on trouve jamais comment l’arrêter. Il va même m’avertir lorsque les piles seront dues à être changé.

Aussi, ce soir, Émilie effectuait une recherche sur Kaetlyn Osmond pour son oral. On cherchait à confirmer/savoir dans quelle compétition elle participera à Sochi. Puisqu’on ne trouvait rien à ce sujet, j’ai décidé de lui twitter. Émilie était surprise qu’on puisse communiquer avec, j’ai bien hâte de voir si elle me répondra avant que sa compétition ait lieu.

J’étais censé écouter le Hockey avec ma douce ce soir, mais après 2 buts des Penguins, pour moi c’était déjà terminé. Demain, la belle-mère vient faire un tour, faudra que je sois social avec, qu’on me dit. Je n’ai pourtant pas l’impression de ne pas l’avoir été auparavant. Quoique là, avec la petite, je bois moins d’alcool, c’est peut-être ce qui explique pourquoi je parais moins accueillant.

Hier soir, j’ai programmé et j’ai pu lire sur Cucumber, RSpec, WebRat et Autotest. Ça va être le fun de vous montrer comment utiliser toutes ces belles technologies pour faire mon application sous Rails. J’ai aussi avancé dans ma lecture du livre Agile Web Development with Rails. Je devrais pouvoir faire un vidéo sur les models, et ensuite sur les controllers et finalement commencer.

J’ai aussi découvert une application Windows intéressante, Snarl. Si vous êtes sur Mac, il existe quelque chose de similaire qui s’appelle Growl. Cette application améliore les notifications qui peuvent apparaître sur l’ordinateur. Vous pouvez en fait, contrôler et ajouter des applications pour choisir ce sur quoi vous voulez être averti lorsque vous êtes sur l’ordinateur. Par exemple, ça peut vous avertir 15 minutes avant l’heure à chaque fois que les prédictions météo sont sous -10C ou s’ils annoncent plus de 5cm de neige.

L’idée est de créer une plateforme de notification et d’avoir des développeurs qui écrivent des applications pour. Les notifications sont alors présenté sous Windows, Mac ou même sur votre appareil mobile ou tablette. Donc vos notifications vous suivent. Je viens de faire le tour de leur site web, ouin, finalement, peut être pas une bonne recommandation à faire, ça semble pas très fini comme application. Probablement que la version Mac est plus avancé.

Je viens de voir aussi, ce soir c’est la première de l’émission Les Beaux Malaises avec Martin Matte. Je sens que ça va être drôle, bon ce ne sera pas Caméra Café mais ça va être du pure Matte, en fait, pas si pure que ça car c’est coécrit. Je l’ai enregistré sur mon Illico car Marjo veut absolument continuer de voir la déconfiture du Canadiens.

Océanne a été plutôt tranquille aujourd’hui, parait qu’elle a bien fait ces siestes. J’ai eu quelques sourires, mais rien de débile. Elle n’a pas voulu faire de belle sieste dans son lit au souper, elle a préféré le berceau électronique que Chantal lui a acheté. Par la suite le bain fut tranquille. Je suis rendu plate, je ne sais plus quoi chanter ou quoi faire pour la garder tout sourire. Elle aura 3 mois ce vendredi à 23h14.

Pas grand chose ce soir

Fatigué ce soir, mal dormi la nuit dernière, la petite s’est levé aux deux heures. La journée de travail à été merdique. En soirée, on a mangé des cuisses de poulet, du chou-fleur et des pâtes au sel. À part les pâtes, ça goûtait pas mal l’eau. Je m’ennui des sortis aux restaurants.

Ce soir, j’ai le goût de programmer, j’espère avoir un peu de temps à moi. La petite est couché et ça semble être pas pire. J’ai appris que ma collègue qui m’a donné un cadeau pour moi et Océanne hier, va quitter HP. Elle était sous contrat et celui-ci s’est terminé aujourd’hui.

Comme vous le voyez, pas grand chose à dire aujourd’hui, alors je vais tout de suite aller programmer.

Plate?

La petite n’était pas d’humeur ce soir. J’ai dû la prendre dans mes bras, car dans son banc elle ne faisait que pleurer. Nous qui voulions montrer à Émilie qu’elle était devenue plus bavarde, ce sera pour demain peut être. Le bain a fini avec une crise et puis là elle est partie pour la nuit, j’ai bien fait d’insonoriser sa chambre!

Il y a sûrement du monde qui se demande pourquoi j’écris un blogue. Tsé, quand tu as une vie plate, faut pas que tu gardes ça pour toi. Lasagne de Costco au souper, très bonne d’ailleurs. Quoique je crois qu’on a mangé le garde manger après, Marjo et moi, tellement on avait encore des fringales.

On a écouté les Bobos, avec l’ostie d’AirPlay de Apple à marde qui fait toujours planter mon routeur. C’est à se demander si Apple utilise ces technologies.  J’ai toujours le goût de crisser mon iPad par la télé, mais je ne pourrais le faire qu’une fois, alors je vais le choisir comme il faut.  Je me suis d’ailleurs inscrit à un concours de RDS pour gagner un nouveau cinéma maison, pas cave le gars.

Ça a été très poche au bureau aujourd’hui. J’ai attendu plusieurs heures pour me faire assigner une tâche, alors qu’en fait j’en avais 3 à mon nom, mais que je ne voyais pas à cause du système informatique défectueux. Grosse journée à faire ce qui me tentait, merci la technologie. Quoi que tout se soit remis à être fonctionnel juste avant d’avoir à quitter, donc gros rush de départ.

Parlant de rush, ce matin, il y en a-tu qui ont peur de la neige?  C’était quoi ça? On aurait dit une première neige au Québec, la 20 était bloquée. C’est quand même fou, même pas 1 cm et les autoroutes sont au ralenti. Je ne savais pas qu’il y a avait autant de femme qui conduisait au Québec. Où on s’en va?

Assez écrit de connerie, j’ai hâte à demain, Océanne sera sûrement plus en forme. En plus, ce sera mardi, pas de recyclage ni de poubelle à sortir. Océanne a aussi reçu un cadeau aujourd’hui et moi aussi d’ailleurs. Un tapis de souris Persian et elle ce fut une belle petite robe rouge. Une collègue de travail qui nous a offert ça, gros merci.  C’est fou comment après ça je me sens cheap et égoïste…

C’est un vieux jour

Je me sens vieux aujourd’hui.  Ma petite Océanne était pleine d’énergie, et je ne me trouvais plus de façon de la distraire, de l’amuser et tout.  C’est fou, je l’adore, mais c’est du travail! Heureusement, il y a le retour d’impôt ;-).

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Ma petite va avoir 3 mois ce Vendredi.  Le temps passe vite, on veut la garder toute petite mais en même temps on a hâte de voir ce qu’elle deviendra.  Je disais à ma blonde que je n’avais pas hâte de voir à quoi elle va ressembler plus tard, elle est tellement belle là, qu’elle ne peut que devenir moins cute en vieillissant.  Seul l’Internet et l’avenir nous le diras.

Demain une autre journée de travail.  On me donne des bugs de logiciel dont je ne suis pas l’auteur.  C’est pas mal plus de travail de sauter dans le code d’un autre pour le comprendre et ensuite saisir le problème et finalement trouver la meilleure solution. Faut se mettre dans la tête de l’auteur souvent pour comprendre la logique utilisée.  Certain de mes collègues sont très créatifs et ça rends la lecture de leur code beaucoup plus demandant.

 

On prépare l’an 2014

Mon blogue fait peau neuve. Je passe de Drupal à WordPress, sans raison particulière.  En fait, si, l’interface d’administration et les plugins de WordPress semble être de meilleur qualité.

Faut que j’arrête par contre de focuser sur les outils et que je travaille plus sur le contenu. D’ailleurs, parlant de contenu, ma vie en a eu tout un nouveau.  Depuis la fin d’octobre, je suis devenu papa.

Océanne a maintenant presque 8 semaines.  C’est un ange, elle dort bien, petit glitch ici et là, mais en général elle rends mes débuts de parent dont la qualité est celle d’être « père » beaucoup plus facile que je ne pensais.

Pour 2014, j’entends continuer mes projets d’applications. Ce sera encore plus difficile avec la petite de me trouver du temps pour le faire.  Mais je compte quand même y investir mes temps libre.  Mon premier projet sera un logiciel de budget inspiré de YNAB avec une et peut être deux twistes importantes.

Je compte aussi faire cette application dans un modèle de développement de type « cloud ». J’aurai donc une partie « base de donnée », « back-end », « web front-end », mobile (iOS et Android et HTML5). Beaucoup de plaisir en vue.

Je me suis mis un but financier à mon projet, réussir à faire de l’argent avec (et mon but ultime serait de récupérer mon investissement d’outils et de temps).  Si je peux arriver à faire ça, alors là, je vais repenser mon avenir et peut être voir si je ne pourrais pas travailler à mon compte éventuellement.  Mon objectif est donc 1re Janvier, 2015 pour « faire une cent » en relation avec ce projet là.

Je compte détailler tout le processus avec des vidéos explicatives.  Donc, techniquement, quiconque regarderas la vidéo pourra recréer la même application gratuitement.  Mais j’entends garder mes droits d’auteurs, donc le code et les idées, ne seront pas libre de droit (encore là, faut que je m’aide à atteindre mes objectifs ;-)).

Un ostie de motton

Je vie ce matin un ostie de mottons à la gorge.  Je suis dans une situation où je sais très bien que je ne suis pas parfait, j’accepte que les autres ne le soient pas non plus, mais les autres n’acceptent pas que je ne sois pas parfait au point où de virer le monde à l’envers.  Je suis dans une position pour aider les gens à cause du temps que j’ai perdu à étudier des livres, lire du code et appris des trucs, et écris des trucs.  Lorsque l’on me demande mon aide, je fais normalement plus que ce qu’on me demande, je soulève des problèmes, des questions, toujours avec l’intention d’être constructif.  J’ai toujours derrière la tête le reproche d’être trop directe, de culpabiliser les autres, etc…

Donc chaque fois que j’écris un email j’essai de faire attention à ce que j’écris pour pas insulter personne, j’essai de rester polie, même lorsque je parle à ma blonde à la maison de ces situations que je vie, je nomme pas les noms des gens, je tente de cacher leur identité car pour moi c’est rendu pas bien de rapporter des choses sur quelqu’un.  Je préfère plutôt rester constructif et parler d’un acte précis dans son contexte et de parler des faits, je sous-entends toujours que je n’aurais probablement pas fait mieux dans le même contexte.  Je n’y arrive pas toujours à formuler les courriels comme il faut où prévoir ce qui va blessé ou pas, mais mon intention est toujours de faire avancer les choses malgré tout et non pas de basher sur la personne.

Mais lorsque j’apporte mon aide qui m’a été demandé, les gens par la suite la critique assez souvent.  Je comprends ça, je ne suis pas parfait et souvent la façon que je m’exprime semble impliquer que quelqu’un a fait une erreur, mais moi je suis comme ça, je n’ai pas peur de me faire dire que j’ai fais une erreur, et j’apprends de mes erreurs.  Mais lorsqu’il y a un problème, un manque, il faut bien que ce soit en raison de quelque chose, le code ça ne se crée pas tout seul encore.  Faut bien que quelqu’un ait réfléchi, qu’il s’est dit « Comment je dois faire ça? » et qu’il en est arrivé à une conclusion.  Et personnellement, s’il ne se trompait pas j’en aurais pas de problème, je n’aurais peut être plus de job non plus.  Là où ça me fait mal c’est lorsque les gens qui me demande de l’aide par la suite sans preuve me dise que ma solution n’est pas acceptable, encore là, ça me blesse mais ce n’est pas si pire.

Genre si je demande de l’aide, et que je crois que l’aide apporter n’est pas bonne, on est en droit quand même de la critiquer, quoique ça devrait être fait en respect car on a quand même été voir cette personne en pensant qu’elle pourrait nous aider, mais lorsque par la suite j’apporte des preuves tangibles que ça fonctionne ce que je dis, ben là, s.v.p. accepter ma solution et cesser de me critiquer, où du moins, si vous le faites, faites-le en vous appuyant sur quelques chose du même niveau que j’apporte, c’est-à-dire des preuves tangibles.  Je serai alors le premier à me fermer la gueule, à m’excuser de vous avoir mis dans le mauvais chemin et à vous rendre votre gloire.

Et encore, j’ai l’impression que je suis très charitable, car beaucoup que je connais aurais cesser après votre refus de l’aide apporter et demander en plus.  Lorsqu’on me reproche quelque chose, j’ai toujours tendance à le refuser, mais je vérifie, même si je suis frustré, et si c’est vrai, je reviens et j’accepte mon erreur, et j’essai de figurer ce que j’ai mal fait, pourquoi, et comment à l’avenir je peux l’éviter, et souvent je refais les mêmes erreurs malgré moi.

Je fais tellement souvent d’erreurs que j’ai souvent l’impression que je suis un incompétent dans mon domaine.  Lorsque je vois les autres faire des trucs dans les livres, sur le net, je capote tellement je ne connais rien.  On me récompense par contre pour ce que je fais, assez souvent, alors du coup je me dit que je suis quand même pas pire.  Et je suis fière aussi de ce que j’ai accompli comme code, celui-ci rapporte beaucoup, et il est utilisé un peu partout, je crois que j’ai le droit de croire que j’ai réussi quelque chose de bien, on l’a même acheté mon code, bien sûr avec tout le reste, mais il a été inspecté et il a fait parti d’un tout et aujourd’hui beaucoup de monde travail sur celui-ci.

Je suis arrogant, bien sûr, je suis toujours fière de mon code, et je crois que c’est le fruit de mes investissements, pas juste d’un talent quelconque que je pourrais peut être avoir.  J’ai acquis mes connaissances, par moi-même, pas à l’école.  Ne pas être bon à mon stade après 20 ans dans le domaine de la programmation (casiment à temps plein malgré l’école) serait une défaite totale.  À n’importe quel temps on aurait pu me dire, ok toi, travaille sur autre chose car ça n’avance pas, ou tu n’y arrives pas, etc.  Mais on m’a garder, on m’a appelé pour tout les problèmes, et rarement j’ai pris plus de 1 à 2 semaines pour résoudre des problèmes qu’ils soient mineures ou majeures.

Je crois que je suis en droit de dire que j’ai acquis des connaissances avancés dans mon domaine.  Je crois que j’ai le droit de me montrer un peu arrogant lorsqu’on refuse mon aide sans preuve.  Je crois que j’ai mérité le respect de mes pairs, car moi je les considère égale sinon supérieur à moi.  Peut être pas dans toute les contextes mais en générale j’ai toujours l’impression d’être inférieur à eux, car ils savent des trucs que je ne sais pas encore, et ce même si l’inverse est vrai aussi.  Et ce, même lorsque ceux-ci sont des stagiaires, ils me montre des trucs que je ne sais pas encore faire, genre du OpenGL et autres.

Je comprends aussi que d’être comme je suis ne m’attire pas de sympathie.  Et personnellement je m’en calisse d’en recevoir, je ne suis pas dans ce domaine pour recevoir des fleurs, me faire des amis ou autres, non plus.  Je suis là simplement pour faire ce que j’aime, pour apprendre et faire des trucs plus poussé, que je n’aurais pas cru être capable de faire, pour obtenir un salaire qui me permet de vivre à mon aise.  J’ai accepté le fait que je suis loin d’être parfait, et j’accepte aussi que d’autre soit arrogant envers moi, et c’est la game.  Le hic, c’est que lorsque moi j’ai besoin d’aide, j’ai souvent personne vers qui me tourner, pas qu’il n’y a pas mieux que moi, souvent les gens qui pourraient m’aider ne sont pas disponible.

Alors là, je dois me débrouiller, car contrairement à d’autres, on s’attends que je trouve les solutions avec ou sans aide.  Lorsque moi par contre je m’attends à la même chose d’un autre personne, là, c’est une toute autre histoire, ça me retombe toujours sur la tête.  Si je suis occupé, on interrompt ce que je fais et on me dit d’aider l’autre, ce que je fais, et si l’autre ne réussi pas à résoudre le problème avec mon aide, les gens pointent sur moi et c’est OK ça.  Si je ne l’aide pas parce que je suis assigné à d’autres tâches plus importantes, alors là par contre, ça me revient quand même dessus, parce que, tsé, dans le fond, on est tous une grosse équipe et il faut qu’on s’entraide, etc.  On ne peut pas laisser les gens sans aide comme ça, même si on a d’autre priorité, on doit trouver un trou, etc.  Genre faut bien respirer aussi des fois non?  Alors si t’as le temps de respirer, t’as toujours le temps alors d’aider les autres.

Et normalement tout ça, je l’avale, je l’accepte et je continue, je me dis que ça fonctionne ainsi, etc.  Aujourd’hui par contre, j’ai beaucoup de misère à le prendre.  Je ne sais même pas trop pourquoi, je vis ça très souvent, je me fais chier dessus parce que mes interactions sociales ne sont pas parfaite et que je dis ce qu’il ne faut pas dire car ça peut blessé les autres.  Et j’essai de m’améliorer, mais lorsque moi on m’insulte, personne ne me défends, je fais probablement l’erreur à ce moment-là de vouloir me défendre moi-même, au lieu d’aller courir sous les jupettes de quelqu’un d’autre.  Et là, mon verre est plein j’imagine, trop en peu de temps.

Et peut être que je m’imagine tout ça, je me crois peut être différent des autres sans raison.  Je ne sais pas, ce n’est pas l’impression que j’ai, par contre.  Lorsque les gens sont dans le merde, mon nom arrive souvent, « Yannick, peux-tu nous aider », et là, 1-2 semaines après, le problèmes est réglé, d’autres surgissent par contre qui n’ont pas rapport avec le premier, les gens sont pas content de la façon que j’ai dis des trucs etc, faut quand même expliquer les faits tel qu’ils sont, on va pas ré-inventer ce qui est arriver ou faire croire que ces problèmes là sont venus de la planète Mars, d’ailleurs il n’y a pas de carbone sur celle-ci.

Et souvent, ce qui est drôle, c’est que lorsque je propose mon aide avant le temps, je me fait souvent remettre à ma place.  « Yannick, est-ce qu’on peut savoir pourquoi t’a commenter ceci? C’est pas que ce que tu as dis n’est pas techniquement vrai, c’est plus que c’est pas ton rôle de faire ça. » ???  Donc en gros, si tu trouves des problèmes alors qu’on t’a rien demandé, pourquoi tu nous laisserais pas les découvrir nous même afin qu’après lorsqu’on sera dans la marde on viendra si nécessaire te demander de l’aide car en fait t’était pas mal le seul qui a vu un problème dans ce qu’on faisait alors qu’on croyais qu’on était correcte nous, et dans notre monde les choses allaient comme on le souhaitait.

Ostie que ça me fait chier tout ça.  Quand quelqu’un soulève un problème et que vous n’êtes pas capable de répondre comment vous aviez penser le résoudre, faite juste dire « Merci, on va regarder ça ».  Au lieu de dire d’autres niaiseries, on est juste une grosse équipe, je fais ça pour tenter de vous sauver du temps plus tard, je comprends que ça peut gâcher vos plans dans vos têtes actuellement mais ça va arriver que je soulève le problème ou pas, ça ne veux pas dire que c’est moi qui a créer le problème, si je ne l’avais pas fait, le problème serait apparu de par lui-même, c’est quand même pas de ma faute si moi je porte attention à ce que le monde écrive et dit et que j’essai de comprendre comment les trucs fonctionnent et que je pose plus de questions qui révèlent des trucs.

En gros, je n’ai pas le sentiment d’être apprécier en dehors de ceux qui me connaissent déjà et qui savent passer par-dessus mes faiblesses afin d’extraire mes forces et de les utilisés.  Et le plus triste c’est que dans ma tête, je me dis que c’est de ma faute, je peut certainement faire mieux…

Crisse, la perfection ça n’existe pas !

 

Les vacances 2012 – on s’envoit en l’air

BEEP BEEP BEEP, on se réveille, on s’arrange tous, on nettoie la chambre et on est au checkout.  On prends le transport de l’hôtel offert gratuitement qui nous amène à l’aéroport JFK.  Que j’apprécie quand s’est offert ainsi gratuitement et que tout va bien, merci aux hôtels d’offrir ce service.  Arrivez à l’aéroport on chercher le guichet pour pouvoir enregistrer nos deux gros bagages.  Ici, ça se fait au milieu de la place avec un petit guichet.

Le monsieur a l’air vraiment bête, ha non, il l’est aussi, ce n’est pas juste un air.  On doit par la suite mettre nos deux bagages enregistrées sur un tapis roulant nous même.  Deux employés discutent et Marjo leur demande si on peut aussi y mettre Émilie, un des gars lui réponds du plus sérieusement du monde que non, seulement les bagages.  Marjo est un peu insulté que le gars ait pu croire que ce n’était pas une farce.  À croire que d’autres aurait fait ça avec leur enfant, ha, il faut de tout pour faire un monde.

On va à notre ligne d’attente pour entrer dans la zone sécurisée.  Encore là, super, il y a une ligne spéciale pour les familles.  On passe et les enfants apprennent qu’ils devront retirer leur soulier, ils trouvent ça bien étrange, nous aussi.  On passe l’inspection, tout est beau, personne n’avait rien cacher dans leur soulier.  On se dirige vers notre gate et on fait un arrêt déjeuner dans le premier resto qu’on voit.

On fait une pause photo juste avant d’entrée dans le resto, en demandant à un pilote qui passe de nous prendre en photo.  Le resto est très bon, surprenant même, ça avait plus l’air d’un bar.  J’ai mangé une genre de sandwidch club déjeuner, pain, omelette, jambon, fromage, délicieux.  Jérémie et Marjo ont prit des oeufs bénédictine, encore là, un succès.  Quand à la petite elle a prise un déjeuner un peu plus standard.

Après une pause toilette, on arrive à notre gate, les enfants regardent les avions sur le côté, la passerelle qui va nous amener à la nôtre.  Notre avion n’est pas encore arrivé, Marjo part explorer les boutiques.  Lorsque l’avion arrive on est tous rivé à regarder le pilote faire son stationnement en parallèle avec ce gros engin.  Le tout est fait et les gens sortent, ce sera notre tour après.  On arrive dans l’avion et les enfants commence à stressé un tout petit peu.

On s’assoit à nos places qui ne sont pas tout à fait une à côté de l’autre, bizarre.  Les rangées sur le côtés sont décalés un peu ce qui fait que les enfants sont en diagonales avec nous.  Jérémie ne veut pas ouvrir l’hublot car il ne veut pas voir ce qui se passe.  Émilie elle cherche à voir, la chicane pogne.  Marjo force Jérémie à ouvrir le hublot ou de changer de place et de simplement pas regarder s’il ne veut pas.

L’avion se déplace, on s’en va vers la piste de décollage, on peut clairement voir un doute dans la face de Jérémie, pour Émilie c’est l’excitation.  BRRROOOOOOOMM, les moteurs à pleine puissance, l’avion avance, ça brasse un peu, on est poussé dans nos sièges, ça y est, on décolle, l’avion monte s’incline vers le ciel, détache de la piste et semble manqué sa shot et redescendre vers la piste, moi je perçois toujours ça comme ça le moment ou l’avion commence à monté, et par la suite ça y est on est dans les airs.

Lorsque l’avion est en monté le pilote pour faire stressé tout ceux qui ont peur en avion fait un virage prononcé.  Si quelqu’un avait le goût de vomir c’est le temps.  Jérémie regarde lui dans le sens opposé de tous alors qu’on regarde comment les bâtiments sont petits.  Sur les écran on nous affiche notre trajet, la distance, notre vitesse et notre altitude actuel, je confirme on est dans les airs et l’altitude continue à augmenter, c’est un bon signe.

Une fois les 10000 pieds atteints notre pilote nous informe que d’autres pilotes l’ont informé qu’il y a de bonne probabilité de turbulence dans les 25 prochaines minutes et décide donc de retarder le service dans les allés.  Merde, moi qui aime prendre un Pepsi/Coke en plein air question de déboucher mes oreilles et de sucer les glaces qu’ils mettent dans nos verres de plastique.  Il nous font jouer un film aussi pour nous faire patienter, mais j’ai pas mes écouteurs et le services qui en vends ne va pas passer avant 30 minutes, oh joie.

Après 10-15 minutes je détecte que Jérémie n’écoute plus sa musique et décide de lui voler ses écouteurs.  Le reste du voyage s’est agréablement bien passé.  Les enfants ont su se faire invisible avec leur PSP/DS et à l’atterrissage se fut un autre moment stressant pour Jérémie.  Une fois sortie de l’avion, la température nous pogne, la chaleur, oh oui!

On débarque et on se dirige vers les carrousels à bagages.  Là, encore une fois Marjo et les kids stress, nos bagages, sont où? tout le monde ont les leurs mais on ne voit pas les nôtres.  Je te les envoi aux toilettes tous afin d’avoir la paix.  Ils reviennent, toujours pas de bagages, mais on est pas les seuls, donc arrêter de paniquer.  Enfin, voilà notre première valise, et la deuxième quelques minutes après.  Tout est beau là?

On sort à l’extérieur, et les taxis sont là pour nous accueillir à porte arrière de camion ouvertes.  On y place nos bagages et on annonce fièrement au chauffeur le nom de notre navire, Carnival Victory s.v.p..  Les enfants regarde leur premier palmiers à l’extérieur.  On se promène dans San Juan afin de se rendre au port. Lorsqu’on arrive tout près je montre aux enfants les bateaux de croisières, mais ils ne les voient pas, effectivement, ils regardent trop bas, je leur dit de lever la tête vers le ciel.

Trois immenses navires se trouvent dans le port aujourd’hui.  C’est gros, des bâtiments de 14-16 étages sur l’eau.  On débarque du taxi et on se dirige vers les portes pour embarqués sur le bateau.  On laisse nos deux gros bagages à un monsieur à l’air louche, auxquels je donne 5$ US, et Émilie me demande pourquoi j’ai donné nos bagages aux monsieur d’un air très inquiète.  La vie est ainsi faite que veux-tu, est ma réponse.

On monte un premier escalier pour se rendre à l’acceuil, on présente nos billets, on reçoit des cartes de chambre, des plans du navire.  On fait une pause toilette, et ensuite on se dirige aux passerelles qui nous amène au bateau.  On pose le pier sur le bateau et on se fait prendre en photo.  Tout mon stress du voyage débarque de mes épaules, on est arrivé au bateau sans problème et tout à bien été, je viens de perdre 20 livres.

On se dirige vers nos chambres, wow, très belles et grandes, les enfants explorent.  On regarde au hublot on y voit les employées qui manipulent nos bagages.  Nos chambres sont les premières à l’avant du bateau au 2è étage donc très basses.  Après quelques minutes de relaxation on décide d’aller manger quelque chose au buffet et du coup de regarder un peu le pont supérieur du bateau.  Deux piscines sont visibles et surtout on voit la glissade d’eau et l’écran gigantesque de cinéma.

Le buffet est décevant, très peu de choix, rien qui a l’air très appétissant.  Moi qui a été l’an d’avant sur le Celebrity Summit, où sushi, indien, et toute sorte de style de bouffe de très bonne qualité se retrouvait dans le buffet, je suis vraiment déçu.  Bon, je décide de me tourner vers un comptoir fast-food, prendre un bon hamburger.  Les enfants eux optent pour des hot-dogs, heureusement leur grand-père leur a dit qu’il devait bien mangé et minimiser le fast-food, ce sera nos derniers hamburgers/hot-dogs de notre périple.

On retourne aux chambres, la valise de Marjo est arrivé, Émilie et elle enfilent leur maillot et on va se baigner, moi et Jérémie on attends toujours notre valise, donc on est limité à regarder les autres se baigner, nos costumes de bain étant dans notre grosse valise.  Une heure passe et voilà on est nous aussi dans la piscine.  Au souper on se dirige vers le restaurant du soir, au menu du saumon crue, un peu style tar-tar.  C’était super bon, sauf que c’est un entrée.  J’en ai donc repris, les enfants aussi d’ailleurs on commander l’assiette.  Je ne me souviens pas ce que j’ai pris en plat principale par contre.

Après le souper on s’est diriger à nos chambres et on est par la suite sortie pour la fête sur le pont du départ de San Juan.  Les gens dansaient et s’amusaient et donc du coup j’ai tout gâché.  À un moment donné moi et Marjo ont s’est pogné, j’ai dit la mauvaise chose au mauvais moment, tout à fait moi ça.  On s’est retrouvé tous dans la chambre et on a terminé notre journée après une petite réconciliation.  Je crois que la fatigue était aux rendez-vous. 

Les vacances 2012 – le départ

Samedi, 6h15 am, BEEP BEEP BEEP BEEP, CLAC! On se réveille!  Petite douche froide (euh non, très chaude plutôt), on grimpe dans l’auto et on part.  Ok, il y a eu pas mal plus d’étapes que ça, je crois qu’on s’est habillé, qu’on a ramassé nos trucs dans la salle de bain, terminer les valises, les descendre en bas (pourquoi j’habite si haut déjà?), habillé les enfants, habillé Marjolaine, valider que le chat restera en vie jusqu’à la visite prochaine d’Éric, encore mille fois merci!  Et nourrir les poissons, que c’est inutile des poissons, mais bon quand le prix de la nourriture aura plafonner, je recouvrirai mon investissement!

On part la voiture, on avance, on arrête.  Heu, non, on est pas à New York, Marjolaine ne sait plus si elle a bien barrée la porte.  Je monte donc pour vérifier, ha oui c’était bien barré, bon je n’irai pas voir si on a laissé les ronds du poêle allumé, anyway, ils sont à induction.  Nous voilà donc parti, on plugue le GPS, on entre les coordonnée, 5h50 de route, oh mon dieu, aidez-moi!

Le pont Mercier est ouvert, fiou, je n’avais pas checker, on roule, on se rends au douane, pas le temps de faire un stop au duty free.  On passe les douanes, yes!, première étape stressante terminé.  Ils nous ont laissé « enlever » les enfants pendant 7 jours aux État-Unis, pouah qui disait que les states avait relevé leur niveau de sécurité.  On arrête à Platsburgh, on a faim! Il est 9am…

Émilie et Marjolaine s’émerveille de tout ce qui est Américain, des lacs américains, des arbres américains, des routes, des j’sais pu trop quoi elles me tombent sur les nerfs, alors pendant que Marjo va dans les toilettes je demande à Émilie de cesser de dire ça.  Yeah, j’ai gagné elle ne le dit plus, on roule encore sur la 87 sud, on roule, mais roule, ha que c’est long.  11am, on arrête, garage, rempli la tank, rempli le véhicule de trucs à boire, on repart.

On passe le pont rouge, on roule encore et encore, à 14h, alors presque rendu on fait un arrêt pipi, et on mange au restaurant Chili je crois.  Si on stationne à la mauvaise place, notre voiture sera « crushed », c’est vrai Jérémie, puisque c’est indiqué.  Jérémie nous demande toujours si ce qu’on lui dit est vrai, vaut mieux être prudent quand on est un ado, surtout lorsqu’on me cottoie en fait, oui c’est vrai ça aussi Mott…

On repart, arrive au New Jersey, on passe sur à un endroit ou l’on peut voir la ville de New York sur notre gauche.  Je chercher l’empire state building je crois que j’en ai vu 5 lol, à chaque gratte-ciel je croyais que ça y était.  On passe un pont qui nous amène à New York, on sait quand on arrive, car la route est pire qu’à Montréal, c’est démoli, avec des trous géant, j’avais peur que la voiture ne casse.  On traverse la ville d’ouest en est, on sort et ensuite on se dirige vers la ville Jamaica à Long Island je crois.

Je fais des prouesses de conducteurs en gérant les enfants à l’arrière, la musique, les indications de GPS, les erreurs du GPS, le traffic, heureusement aucun taxi aux alentours et la EZ-Pass, le multitasking à son meilleur, le tout avec un seul core, et ils tenteront de nous dire après que c’est pas du vrai multi-tasking.  Bon anyway, on arrive, Jamaica, nous voici, crime, fait frette, 10 degré Celcius, bon ok pas de neige nulle-part mais je croyais qu’il faisait chaud moi en Jamaique.

Notre hôtel existe bel et bien, on ne sait pas fait avoir.  J’entre je présente mes papiers ainsi que ma visa, nous recevons les clés de la chambre.  Jérémie ne veut pas prendre l’ascenseur jusqu’au 9è, il est clostrophobe, on décide donc d’annuler les vacances et de retourner à Montréal, c’est pas vrai que je vais monter les valises par les escaliers jusqu’en haut et les redescendre demain matin.  Bon ok, il a pigé, on l’enferme donc dans une valise après avoir dumper les vêtements dans l’ascenseur et on arrive en haut.

On ouvre la porte, ça y est on est à notre chambre.  Marjolaine veut un bain, mais il n’y a qu’une baignoire sans bouchon de bain, mais elle veut une douche.  Appel le service, tente de figurer comment dire un bouchon de bain en anglais, finalement j’apprends que c’est un water-stopper.  Elle m’indique qu’elle va demander à son ingénieur s’il en on.  Quoi? lol, ils doivent consulter un ingénieur pour savoir s’ils ont un water-stopper.  Dans la chambre la pression monte, Marjolaine veut son bain.

On nous rappel pour nous dire que oui, fiou, heureusement ça existe, et il vont me l’apporter.  Un monsieur viens nous en porter un à la chambre, offrant même de l’installer, ou de me montrer comment ça marche.  Je sors alors mes lunettes de table à chevet, m’installe sur une chaise, abaisse les lumières et invite ce chère monsieur à me révélé comment utilisé un bouchon de bain ou water-stopper.  On en apprends tous les jours j’vous dit.  La réalité c’est que je lui ai tiré des mains, rit en pleine face et j’ai refermé la porte, non mais il me prenne pour un épais, je ne sais peut être pas le nom du truc en anglais mais de là à pas savoir l’installer.

Marjolaine est dans son bain, la pression redescent, on a évité le pire je crois.  Jérémie lui veut une douche, on m’appel à la salle de bain, il ne sait pas comment retirer le water-stopper.  Faut croire que ça prends plus qu’un secondaire un.  On regarde enfin par la fenêtre et on voit l’aéroport, une belle vue sur celle-ci avec vue aussi sur la piste d’atterrissage et du coup de décollage.  Là par contre on a faim encore, on va au resto de l’hôtel, ouch, 20$ et plus, pour de la friture.  Ouin, on ne s’y fera plus prendre la prochaine fois, ben c’est ce qu’on se dit toujours mais qu’on oublie toujours.

La nuit tout s’allume dans la chambre, les lumières de l’aéroport décor le plafond de notre 1 pièce et demi et les enfants veulent dormir avec la fenêtre ouverte et ainsi faire de notre soirée un vrai party disco avec tous les reflets.  J’ai donc mis fin à ça et fermé les rideaux, moi j’ai besoin de noirceur, le plus noire possible.  Finalement on arrive à dormir, quoi que j’ai bien voulu écouter l’émission the worst cook in america mais Marjolaine m’a couper ça court avec raison cette fois, heure du levé demain matin 6h15 am.

MedicAlert

Février, tellement déprimant comme période de l’année.  Du coup, j’en ai profité pour prendre mes rendez-vous médicale de chirurgie, examen annuel et même de m’inscrire à MédicAlert.  J’ai l’impression d’être plus vieux que mon père.  Assez poche merci, heureusement on s’en va en croisière la semaine prochaine, je crois mes doigts pour que tout ailles sans pépins.

Demain soir je vais aller faire un tour chez Malhi, question d’oublié le restaurant Taj Mahal.  Ce n’était pas vraiment à mon goût, leur pain naan étant trop mou et sucré.  De la noix de coco partout, j’aime pas ça moi!  Je vais retrouver mes bases, chana samosa, poulet tandoori, beriyani aux légumes, poulet tikka massale et une bonne bière Cobra.  Je crois que si j’avais les moyens j’ouvrirais un resto / franchise de Malhi, pas pour rouler la business, juste pour m’assurer d’en avoir un près de chez moi.

Je recommence à penser à mon voilier, Toubabou.  Il va avoir besoin d’être retoucher pour la peinture dans le cockpit, probablement aussi du travail à faire sur le rebord car le liston sur son bâbord est en train de décrocher tellement le bois qui le soutien est pourri.  Il faudra aussi que j’arrive à régler ce problème pas loin du puit qui fait qu’il y a toujours un peu d’eau sur le plancher.

Va aussi falloir que je figure comment aéré le tout.  L’année dernière, deux semaines et la moisissure s’était installé.  J’ai ai frotté une shot pour la retirer et j’en ai encore à faire sûrement suite à l’hiver.  C’est beau un bateau mais c’est de la job.  L’année dernière j’en ai profiter pas mal en début de saison avec de belle baignade mais très peu de voile.  J’ai aussi pas pris le temps de sortir sur l’eau que pour y être, sans avoir à naviguer ou tenter de figurer encore comment tout ça fonctionne.  Des sorties philosophiques, à rien faire et se laisser aller sur les vagues, je vais tenter d’en faire plus cette année.

Ouin ouin ouin…

Ce matin, je suis allé à la clinique. Ce que je déteste ça! Quand j’y vais normalement c’est pour quelque chose, de là pourquoi je n’aime pas ça. C’est long, long, l’attente, etc. Il y avait un petit gars assis avec moi dans l’escalier, car il n’y avait pas de salle d’attente, on était dans un genre de couloir avec escalier. Il s’est endormi, dans les marches. J’avais le fou rire, je le regardais pour voir s’il allait tomber ou pas.

 

Ça m’a fait passer le temps. J’ai bien demandé à sa mère si je devais le réveiller pour pas qu’il se fasse mal au cou, mais elle ne voulait pas. Il ronflait en plus, il a fait ma matinée. Une madame d’un certain âge est arrivée et il arriva ce qui devait arriver, elle se mit à jaser avec une autre femme qui attendait. Je crois qu’elle a jasé de 8 h 30 à 12 h.
Quand ce fût mon tour, ça ne prit que 2 minutes. Je lui ai indiqué que j’avais des grains de beauté qui grossissait, lui ai montré et paf, faut les retirer. Mon verdict était clair, papier de visite chez le chirurgien et voilà. Je me demande combien la société a eu à payer pour ce 2 minutes. Des petits cancers de la peau, mélanome, je crois, que je devrai me faire retirer.
C’est un peu stressant, on ne sait pas trop comment et/ou pourquoi ça s’est mis à apparaître, mais bon depuis que je suis petit et que j’ai peine à comprendre la vie que les médecins me disent de garder un oeil sur mes grains de beauté. Ça à l’air que je ne suis fait pas dire ça pour rien. Là ce que je me dis c’est que si c’est rendu sur ma peau comme ça, ça doit être que l’intérieur est tout rouillé, pourri, etc.
Va falloir que je passe au garage sûrement par après question de retirer les morceaux rouillés, et refaire certaine partie. Ces grains de beauté en moins je vais sûrement aussi avoir à faire faire des touch-ups pour tenter de trouver de la beauté ailleurs, peut être que je vais devoir mieux m’habiller, me peigner ou encore mettre du parfum ou du gèle. Pas sûr que je vais aimer ça.